J'étais allais dans le jardin de la base ce dernier me rappelais beaucoup mon enfance. J'aimais cette endroits et depuis mon arrivé ici j'y passais pratiquement tout mon temps libre. Je m'y retrouvais seul, cela me permettais de réfléchir, de décompresser de souffler. Le calme environnent était propice à la réflexions. Je fus sorti de ma contemplation par des pas résonnant sur le sol:

*Tient voilà quelqu'un*

Il s'agissait d'une femme, elle s'assit sur un banc et sorti un PC portable allait elle travailler ici? Vraiment est ce possible, ça serait sacrilège... Je m'approchais discrètement en engagea la conversation:

"Excusez moi, je sais on se connaît pas, mais dites moi vous n'avez l'intention de travailler ici dans ce lieux?"

Voilà, soit elle me jette soit elle m'explique tout.

La réaction de la femme me surpris n'avait elle pas vu mon sourire? Ou alors pas le sens de l'humour, sa réaction me fit faire un pas en arrière. J'allais tourner les talons mais me revins vers elle:

" Si je vous est offensais, je vous prie de bien vouloir m'excuser. Je crois que j'ai essayais de blaguer maladroitement, et je pense que pour rêvassez on peut venir la preuve moi. Au je manque à toutes les règles, je me présente Major de l'air force et pilote de F 302 Chris Alexander Delaney, mais Chris suffit, et vous êtes?"

J'avais utilise la formule la plus pompeuse que je connaissais, mais au moins, le décor est plantait elle sait que je suis, les raisons de ma présence ici, jusqu’à mon grade en passant par mon nom complet.

Je lui fit un sourire, celui qui permet de me faire pardonner, qui me faisait un petit enfant malicieux, ça marche a tout les coup le sourire plus les yeux style chat dans Shrek c'est imparable.

Je me tenais toujours debout devant elle, elle finit par se présenter. Elle était la représentante civil:

"Civil, ouf... j'ai rien contre les civil en général... c'est plus les politiciens que je ne supporte pas trop, avec leur discours de bureaucrate, toujours à vouloir tout diriger.A ce sujet il paraît qu'un type du gouvernement du président Obama et sur la base, je pense qu'il doit être reconnaissable."

Je fit une pause puis repris en lui demandant en quoi consistait exactement son job sur la base. Je sais que cela peut paraître bizarre, mais elle ne m’intéressait pas trop, je dit pas que physiquement elle n'est pas plaisante bien au contraire, mais c'est l'une des rare civil rencontrais sur cette base depuis mon arrivé:

"Vous êtes ici depuis longtemps? Et ça vous plait?"

C'est alors que je me souvint d'une chose son Rebecca L. Danson son nom ne m'était pas totalement inconnue, mais impossible de dire à quoi il se rattaché, son visage me parlait, mais où?

Je ne put me retenir de sourire à sa réflexion sur les militaires, puis écoutais attentivement sa réponse concernant les raisons qui l'on amenait ici. Tout en l'écoutant je fouillais ma mémoire, ce nom, son nom, ça me disait quelques chose certes ,mais quoi?

*Pourquoi se nom m'est t'il si familier?*

Je faisait style de vraiment ne me préocuper de notre conversation, je finirais bien par retrouver la raison de cette connaissance:

"Vois savez, tout les militaires ne sont pas pareil, c'est juste que des fois les militaires on les yeux bien en face des trous, c'est comme les politiciens y'a des bons et des moins bon, voilà pourquoi rejoindre une autres galaxie peut s'avérer très bien."

Ce jardin avait le don de me calmais en tant normal, ce genre de débat me donne des crampes mais là j'étais détendu:

"Vous n'aimez beaucoup les soldat je peut savoir pourquoi?"

Ah enfin, il c'était souvenu de son nom, finalement ça n'était pas plus mal, Rebecca le regarda et lui sourit, oui il avait découvert qui elle était, et alors? On traite les politiciens de menteurs et ensuite on vous dit qu'on aurait menti si on avait su qui Rebecca était avant? Rebecca était toujours très amusée de la réaction des personnes, sortant tout haut de belles valeurs mais ne les respectant même pas par la suite.

"Était, est le terme le plus exacte. Je ne suis plus Secretaire d'Etat maintenant."

Bref, il faut dire qu'elel avait bien envie de lui répliquer ce qu'elle pensait, et de le crasher en pleine figure, car elle n'aimait pas les gens qui passent leur temps à critiquer sans se regarder ou tout simplement sans tenter de faire changer les choses. Elle se contenta de lui dire gentillement:

"Vous n'avez pas besoin de vous excuser, la vérité est bien mieux que le mensonge. Mon travail fait que beaucoup de gens que je rencontrent passent leur temps à me mentir, et pourtant se sont ces derniers qui disent que les comme moi passent leur temps à mentir également."

Je comprenais ses sous entendu:

"Ne vous inquiétez pas je maintien ce que j'ai dit et je l'assume, c'est juste que si j'avais su pas sur que je serais restais si calme!"

Peut être quelle n'est plus secrétaire d'état, n'empêche que par le passé elle en a fait parti, et ce que je reprochais au gouvernement elle a du le cautionné.

Mais bizarrement, contrairement à mon habitude je restais d'un calme presque olympien, je pense que elle et moi sommes parti du mauvais pied:

"Je pense que l'on s'y est mal prit tout les deux, je me présente Chris Delaney c'est un plaisir."

je lui tendit la main si on pouvait recommencer pourquoi pas

Bien elle se prêtait au jeu de tout reprendre à zéro, heureusement car autrement on n'aurait fini par d'étriper:

"Ce jardin est magnifique, ici il règne une odeur de paix et de calme"

Voilà qui ironique et paradoxale quand on se rappelle de nos échange verbaux de quelques minute a peine, la politique ne dérangeais pas en elle même c'est juste ce qu'elle faisait qui me bloquais. Si j'avais su jamais j'aurais parlais à cette dame, je l'aurais laisser à son ordinateur. Mais si elle me laisse une chance je lui montre que les militaire ne sont pas des brustos sans tête